Ile Hareng http://www.ilehareng.com/ http://backend.userland.com/rss Kiubi 60 Heureusement !!!  ]]> Humeur https://www.ilehareng.com/blog/2019/07/08/heureusement.html Mon, 08 Jul 2019 09:13:00 GMT Francis Essique Elections Européeenne... Rappel des règles : La liste qui atteint 3% voit sa formation remboursée de ses frais de campagne. La liste qui atteint 5% obtient 1 élu. En dessous de ces seuils… Nada.
En France, nous avions 34 listes. Alors il aurait suffit (même si ça paraît compliqué) que les votes aillent arroser de manière équivalente toutes les listes… Tout le monde ou quasiment aurait été remboursé… Mais il n’y aurait eu aucun élu !!! La marrade !!!
Pire ! En Allemagne, avec 41 listes et le même principe, personne n’aurait été remboursé, et pas d’élu non plus !!!
Dans cinq ans, il faudra y repenser et s’amuser un peu !!!
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Société https://www.ilehareng.com/blog/2019/05/29/politique.html Wed, 29 May 2019 06:28:00 GMT Francis Essique
C&A... Comme un problème de taille. Comment trouver... sa taille !
Il faut comprendre que ce qui est étiqueté 58 correspond à un 44 selon que ayez plus le type asiatique que portugais. C'est la guerre des chiffres, et rien ne va. Dommage, parce que les articles sont plutôt sympas et à prix correct, mais voilà...
Après réflexion, j'opte pour l'essayage de chemises dont le gabarit est indiqué sous la forme "58" et puis d'autres chiffres sensés remplacer celui-ci selon l'emplacement de la boutique... Je prends trois modèles, certes différents, mais tous de la même "taille".

Au sortir de la cabine, le verdict est édifiant: une est trop grande, l'autre, trop petite, et, ouf, la dernière me va à merveille. Y a quand même un problème, normalement, elles auraient dû être soit toutes trops petites, trop grandes ou parfaites, mais... Je ne me décourage pas.

Je prends un modèle plus grand de la trop petite, et un modèle plus petit de la trop grande. On s'attend à ce qu'un nouvel aléa vienne contrarier mon achat, mais patience... Les chemises me vont, impeccable.

Satisfait, je repose les chemises d'essayage et cherche dans le rayon, les modèles emballés disponibles à la vente de cette taille là... Y en n'a pas...
C'est juste, soit navrant, soit pas de bol... Mais je préfère ne pas retenter l'aventure. Trop de temps perdu. Bye bye C&A.]]>
Humeur https://www.ilehareng.com/blog/2019/05/09/c-a-comme-un-probleme-de-taille.html Thu, 09 May 2019 11:39:00 GMT Francis Essique
Le doyen des chansonniers tire sa révérence Etonnante disparition puisque tout un chacun le pensait parti depuis au moins 20 ans, et surtout  parce que les médias ne se sont pas bousculés pour nous faire revivre la truculence du personnage. Il faut croire que les directeurs de chaînes de télé sont trop jeunes pour avoir ri de la « panse de brebis farcie », avoir souri au manège enchanté, s’être délecter du petit Philibert, ou pour ignorer les tables de multiplications, paroles et musique… Moi, monsieur Baudoin, je vous dis merci, je me suis bien marré. Votre seule erreur, mourir à 97 ans… Parce qu'il semblerait que la reconnaissance s’émousse au fil du temps.
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Humeur https://www.ilehareng.com/blog/2019/03/10/le-doyen-des-chansonniers-tire-sa-reverence.html Sun, 10 Mar 2019 13:07:00 GMT Francis Essique
Heure d'été, heure d'hiver... Aussi incroyable que cela puisse paraître, on nous a demandé notre avis ! Evidemment, personne n'est d'accord. A l'ouest on voit bien que les journées vont finir tard, c'est bon pour les terrasses, mais le matin, ce sera chagrin jusqu'à 10 heures pour l'heure d'été. A l'est, au contraire, pas de chagrin, c'est l'heure d'été et puis c'est tout...
Mais au fait, c'était qu'elle heure avant le choc pétrolier ?
Nous étions sur ce qu'on appelle aujourd'hui, l'heure d'hiver, c'est à dire, avec une heure de décalage sur le soleil. En instaurant l'heure d'été, durant six mois, nous avions deux heures de décalage... Mais nous étions sensés faires des économies d'énergie...
Donc, le plus simple et le plus sage serait de revenir à l'heure d'hiver. Surtout, qu'à bien y réfléchir, si l'heure d'été nous faisait réaliser des économies, c'était en été... Si elle n'en occasionne plus, pour x ou x raisons, rester toute l'année en heure d'été conduirait à aucune économie l'été, et des pertes dénergie tout l'hiver !!!
Quand on ne nous demande pas notre avis, on râle... Mais quand on nous questionne, on répond des conneries.
Pas simple...]]>
Société https://www.ilehareng.com/blog/2019/03/07/heure-d-ete-heure-d-hiver.html Thu, 07 Mar 2019 13:57:00 GMT Francis Essique
Disparition d'un grand de la chanson. Société https://www.ilehareng.com/blog/2015/10/10/disparition-d-un-grand-de-la-chanson.html Sat, 10 Oct 2015 06:19:00 GMT Francis Essique Il faut sauver la Picardie ! Si on supprime les régions, si on en garde juste quelques unes, que deviendront nos soirées d’élection de Miss France ?
Autant de régions en moins, autant de miss au chômage !
La soirée débutera à 20 h 45 et dès 21 h 30 TF1 pourra diffuser un énième épisode de Cold Case, du Mentalist ou de Louis la brocante, l’affaire sera pliée.
Jean-Pierre Foucault et Alain Delon perdront les quatre cinquièmes de leur salaire et la pauvreté s’installera dans le show-bizz avec la mort proclamée d’Andémol et de Geneviève de Fontenay.
Sans compter que les départements et territoires d’outre mer présenteront plus de candidates que la métropole, et que c’est la représentation de la France dans son ensemble qui s’en trouvera affectée.
Bref ; regrouper des régions, c’est un choc culturel, c’est un péril d’image, c’est tout simplement infaisable.
Un exemple, supprimez l’Ile de France et, sans Miss Ile de France, que devient Dassault ? Plus de Miss Ile pour les Rafales ?
Voilà comment je compte sauver la Picardie !!!
 
Laissez-nous notre Picardie, avec ou sans les miss !!!



La Picardie, une et indivisible !!!]]>
Société https://www.ilehareng.com/blog/2014/01/20/il-faut-sauver-la-picardie.html Mon, 20 Jan 2014 12:17:00 GMT Francis Essique
Pour une autre réforme des retraites... Les économistes se chipotent, entre un an ou deux, avec le seul leitmotiv du « Il faut travailler plus longtemps ». Alors, ils le jouent aux dés, certains nous font un six et trois, et d'autres un double six... Mais sans que cela ait un sens réel, ou que cela se base sur des certitudes mathématiques.  Ils alignent des chiffres des prévisions, qui, l'affirment-ils, tiennent compte de paramètres, mais eux seuls s'y retrouvent. La solution livrée brute est celle-ci : On vit plus longtemps, donc on doit travailler plus. Je pense personnellement que ce n'est pas tout à fait faux, mais que cela nécessite malgré tout, quelques ajustements. Le français moyen invoque une solution autre : Il faut mettre à plat les régimes spéciaux et faire en sorte que tout le monde soit logé à la même enseigne, c'est-à-dire celle sous laquelle personne ne veut se ranger. Alors on accable pêle-mêle les fonctionnaires, les journalistes et les tailleuses de pipes, parce que c'est bien connu, tout ça, c'est de leur faute. Mais, au final... Quoi de neuf docteur ? Et si on tentait d'imaginer une vraie réforme ? ... Un changement qui prendrait en compte une somme de facteurs complètement ignorés jusqu'ici ? On n'écartera pas le côté farfelu de ma proposition, mais si on accepte malgré tout, de se pencher un peu sur le principe, peut-être que cela apparaîtra moins idiot qu'au premier abord. Prenons le premier élément tenace des économistes : Nous vivons plus longtemps, nous devons travailler plus longtemps. Et insérons entre les deux affirmations, au demeurant assez pertinentes, une troisième non moins réaliste : Nous vivons plus longtemps, mais dans un état moins performant, nous devons travailler plus longtemps. Là, la proposition devient boiteuse.... Sauf si on en modifie légèrement la fin : Nous vivons plus longtemps, mais dans un état moins performant, nous devons travailler plus longtemps en nous adaptant à nos capacités. Pour mieux comprendre, penchons-nous sur notre destinée commune et établissons des parallèles : Je suis un bébé, je n'ai pas de connaissance, pas de force, je ne peux pas travailler... La société pourvoit à ma subsistance, je vis sur la solidarité (allocations familiales gratuité de l'éducation, système de soins et de santé...) et sur l'économie de mes parents. Idem pour ma fin de vie, à ceci près qu'à moins que la médecine ait fait de réels progrès, mes parents ne seront plus là, et ce seront mes efforts de cotisation retraite complétés de ceux de mon employeur qui viendront compenser ma nouvelle inutilité productive que sera ma vieillesse. Entre les deux, on voit bien que tout est progressif. Jusqu'à ce que j'intègre réellement le monde du travail, et parce que je ne suis pas encore en compétence physique, je bénéficie de plus de temps de loisirs. Deux mois de vacances l'été, et une semaine toutes les sept au long de l'année scolaire. Et puis vient le temps où je donne à fond, au maximum de mes capacités, une large place au travail et à l'accroissement de la richesse collective. D'où l'idée, puisqu'il faut augmenter ce temps, de revenir à une progressivité dans cette fin d'activité. Plutôt que de tout quitter brusquement, travailler plus longtemps, oui, mais en en diminuant le rythme. Compliqué ? Sûrement, mais pas inintéressant. Imaginons que tout salarié, dès ses 62 ans, bénéficie d'un rythme de travail en baisse. Toutes les formes sont possibles, une semaine sur quatre de repos supplémentaire, ou six semaines de congés de plus dans l'année à répartir comme il le souhaite, ou d'autres montages plus audacieux, peu importe. Et ce, jusqu'à 65ou 67 ans... Avec, pourquoi pas, encore plus de liberté entre les deux âges... Bien entendu, ces libertés supplémentaires ne seraient pas à la charge des entreprises, mais ce serait les caisses de retraite qui les prendraient en charge, sur la base des cotisations encaissées. Avantage : Pour les caisses de retraites, prendre en charge six semaines de pension par an ou 20% du temps de travail à la place de douze mois, c'est une substantielle économie. Continuer à percevoir des cotisations sur le temps de travail allongé des séniors. Pour les salariés : Certes ils travaillent plus longtemps, mais sur un rythme moindre et en conservant un pouvoir d'achat supérieur à leur niveau de pension. La perte de revenus ne s'appliquant que sur les congés de pré retraite. Pour les jeunes : Cela leur offre la possibilité d'une entrée en entreprise pour effectuer les heures laissées vacantes par les seniors. En combinant plusieurs absences on peut même réaliser un partage du travail sans créer de précarité nouvelle. Pour les entreprises : Des économies réalisées sur l'emploi du senior, partiellement remplacé par une main d'œuvre moins qualifiée et donc moins rémunérée. Une transmission progressive du savoir faire. Un accueil progressif et moins contraignant de nouveaux collaborateurs. Avec des seniors moins sollicités, on peut penser réduire l'absentéisme au travail. Pour l'économie : Des seniors, qui restent consommateurs  avec un pouvoir d'achat renforcé et qui gardent du temps libre pour les voyages, les sorties, les loisirs... Pour la cohésion sociale : Un échange gagnant entre un allongement du temps de travail et une prise en compte de l'avancée en âge. Chacun contribue selon sa capacité et on réduit ainsi le fossé générationnel. Bien entendu, tout cela peut se décliner avec une dose de volontariat, sur l'âge d'entrée en jouissance de ce droit à dégressivité, ou sur l'utilisation de ces points retraites... On peut légitimement penser qu'il y a un fort aspect complexe à la mise en œuvre d'une telle réforme. Qu'elle demande une technicité précise sur l'intervention de l'ensemble des acteurs, entreprises, caisses de retraites, de pension, de retraites complémentaires... On peut se dire que cela risque de demander du temps... C'est vrai, c'est moins évident que de proclamer : "63 ans pour tous !" Sauf que je rappelle qu'il y a peu de temps, quelqu'un avait dit : "62 et c'est bon pour tous !"

Donc, permettez-moi de rester persuadé que ça vaudrait peut-être le coup d'être étudié.

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Actu https://www.ilehareng.com/blog/2013/01/02/pour-une-autre-reforme-des-retraites.html Wed, 02 Jan 2013 06:46:52 GMT Francis Essique